A Belgrade (Serbie) aura lieu le congrès commun des organisations «FSE» et «CEB». On va considérer les candidats au post d’administration de la Fédération Européenne Softball (ESF) et de la Confédération Européenne de Baseball (CEB).

L’originaire des Pays-Bas, Jan Esselman, vise à occuper le poste de représentant du conseil d’administration du Baseball Européen. On lui a posé quelques questions auxquelles il a donné des réponses détaillées.

S’il vous plaît, présentez-vous à notre public.

Je viens de Haarlem (Pays-Bas). A l’âge de 24 ans, j’étais le membre de «CEB», en exécutants les fonctions de secrétaire et de président de la commission technique. Au Congrès de 2013, tenu à Bled (Slovénie), j’ai été élu président de «CEB».

Quelles qualités est-ce que vous avez pour être président de la Confédération de Baseball ?

Actuellement j’occupe le poste de président de «CEB» et je connais personnellement tous ses membres.

Si vous gagnez les élections, comment sera votre programme pour la première année du gouvernement ?

Les tâches les plus importantes pour le conseil exécutif sont :
1. Résoudre le problème de l’union de «CEB» et «ESF» en deux années ;

2. En collaboration avec « WBSC » mettre en œuvre le système européen des jeux de qualification pour les Jeux Olympiques qui se tiendront en 2020 à Tokyo.

Est-ce que la Confédération Européenne de Baseball  (CEB) et la Fédération Européenne de Softball (ESF) vont s’unir? Si oui, comment seront vos étapes à exercer et quel avantage pourra-t-on en avoir ?

L’union au niveau mondial est presque finie, mais officiellement l’approbation aura lieu lors du prochain Congrès de « WBSC », qui se tiendra en octobre 2017 au Botswana (Afrique du Sud). Les compétitions sportives existeront toujours séparément, mais la gestion et l’administration de «CEB» et «ESF» doivent s’unir au cours de deux prochaines années. Le conseil d’administration nouvellement élu de «CEB» doit avoir un rendez-vous avec le conseil d’administration nouvellement élu de «ESF» le 5 février à Belgrade. L’objectif de la réunion est de sélectionner un groupe de représentants de baseball et de softball de deux fédérations continentales pour discuter et mettre en œuvre l’union.

La Ligue de Baseball Européenne (ELB) a été créée l’année dernière pour promouvoir le baseball professionnel en Europe. Cependant, cela a été décidé sans l’autorisation officielle de «CEB». Est-ce que vous allez parler avec les organisateurs de l’inclusion de la Ligue de Baseball Européenne à la Confédération Européenne ? Est-ce qu’il est possible de créer une vraie ligue professionnelle ?

Sans le soutien financier de «WBSC» et la Ligue Majeure de Baseball (MLB) ou de sponsors il est impossible de créer une ligue professionnelle en Europe. Aujourd’hui la Ligue Européenne n’a pas le niveau de la ligue professionnelle, et la raison principale est le manque de financement. On crée la Confédération Européenne de Baseball pour soutenir toute activité de baseball en Europe. Pour la création de la ligue européenne on a besoin d’investissements ce qui est actuellement impossible.

Quelles sont vos prochaines étapes pour augmenter le nombre de joueurs de baseball en Europe ?

Pour résoudre ce problème, on doit faire intervenir les représentants des fédérations nationales. Nos étapes du développement peuvent être plus progressives avec leur aide. Il y a quelques idées à mettre en œuvre, et « Beeball » pour les enfants est l’outil principal à cet égard.

Comment peut-on augmenter l’intérêt pour les compétitions de baseball européennes ?

Au cours de quatre dernières années, «CEB» a montré son niveau de compétition aux matches de qualification pour le championnat. De bons résultats ont été montrés par les niveaux A, B et C à tous les championnats et tournois des équipes nationales et des clubs. Pour être l’exemple pour «WBSC», «CEB» doit examiner les compétitions européennes « Premier 6 », où participent les meilleures équipes.

Les représentants de «CEB» sont actuellement à Zagreb, Croatie. Est-ce qu’ils restent là pour travailler, il y aura des changements ?

En 2014, à l’aide des autorités croates, nous avons ouvert un bureau à Zagreb. C’est un soutien considérable pour les autorités exécutives et administratives.